Attirer des lecteurs, les fidéliser en leur rendant un vrai service, voilà ce que cherche tout éditeur d’un support, qu’il soit diffusé sous forme de presse papier, de document gratuit ou de site (voire blog) Internet. Le contenu juridique fait partie des stratégies susceptibles de favoriser cette légitime finalité.
Quelles sont les rubriques qui satisfont le plus les lecteurs dans la presse papier ? Les rubriques juridiques pratiques qui répondent à leurs préoccupations, qui leur apportent des moyens de faire valoir leurs droits et d’utiliser les réglementations à leur profit. Elles plaisent autant que les bandes dessinées les plus connues. Elles intéressent le lecteur parce qu’elles parlent de ce qui l’intéresse, c’est-à-dire de lui et de ses problèmes. Or, source d’ennuis ou moyen de les résoudre, le droit est omniprésent dans la vie de chacun. D’où le succès garanti des chroniques qui traitent de questions juridiques.
La règle vaut tant dans les publications destinées au grand public que dans celles qui ciblent des professionnels.
Après une formation de juriste d’affaires et quelques années consacrées à des missions au sein de cabinets conseils, j’ai orienté ma carrière vers des fonctions et missions au sein de sociétés de presse et de communication afin de partager les fruits de mon expérience. J‘écris depuis trois décennies pour divers médias et des éditeurs. Je peux et je veux vous aider à satisfaire vos lecteurs. Mon expérience de chroniqueur spécialisé dans les questions juridiques me permet de « faire savoir » mon « savoir-faire » en apportant aux lecteurs des informations utiles grâce aux articles de fond, dossiers et fiches techniques que je rédige en m’appuyant si nécessaire sur des interviews de spécialistes.
A quelles questions répondre ?
A celles que se posent vos lecteurs et ceux qui vous souhaitez faire venir vers vous.
Pour cela, il importera de retenir des thèmes qui retiendront l’attention (en stimulant les moteurs de recherche sur Internet). Il vous faut un rédacteur compétent en matière juridique. Il déterminera un angle correspondant à votre cible.
Quelques suggestions :
* Vous vous adressez à des particuliers ? Retenez des problématiques ayant trait à la consommation, aux économies qu’ils souhaitent réaliser, à leurs craintes, par exemple : les sites d’achats groupés, la vente de bijoux en or, le covoiturage, le contrôle technique auto, le livret A, l’assurance habitation, la location de voiture, le crédit renouvelable, les droits du client au restaurant, les rapports avec une agence immobilière, la copropriété, comment lancer une pétition, où vos animaux domestiques peuvent-ils vous accompagner, recourir à une nounou en garde partagée, quelles études pour des jeunes qui n’ont pas le bac, la situation d’un salarié si son entreprise dépose le bilan ;
Ou encore la couverture des risques de la vie courante par une assurance responsabilité civile, le guide du candidat à l’emploi saisonnier, partir travailler à l’étranger, le témoignage en justice, interné contre son gré, la garde à vue, le permis à points, l’indemnisation du chômage, l’arrêt maladie, les réactions appropriées en cas d’injustice dans une succession , la légitime défense, le déclenchement d’une action pénale après avoir été victime d’une infraction... Ce ne sont là que quelques idées et je serai ravi d’étudier avec vous une liste de thèmes à aborder et à publier à la fréquence qu’il vous conviendra.
* Vous ciblez des professionnels installés, des créateurs ou repreneurs d’entreprises ? Ils ont besoin de rompre la solitude des indépendants, d’appréhender une information synthétique avant de prendre une décision ou d’étudier leur dossier avec leur avocat, leur expert-comptable, leur notaire.
Chaque étape de leur projet professionnel suscite des questions particulières. En voici quelques-unes ; la décision de se mettre à son compte, l’appréciation d’une affaire, le choix (éventuel) d’un associé, la conclusion d’un contrat de franchise, les assurances de l’entreprise et de l’entrepreneur, la règle proportionnelle dans les contrats d’assurance, le chef d’entreprise face au risque de chômage, le choix du statut de dirigeant de société ou d’entrepreneur individuel, le détective dans l’entreprise, l’application des clauses de non-concurrence dans les contrats de travail, le traitement des impayés, le loyer du bail commercial renouvelé, le débauchage de personnel parfois assimilé à de la concurrence déloyale,
la gestion d’une procédure de licenciement, la rupture conventionnelle du contrat de travail, le risque pénal dans l’entreprise, l’évaluation de son entreprise, les clauses sensibles dans un contrat de vente de fonds de commerce, le dépôt des comptes annuels d’une société au Greffe du Tribunal de commerce... Et bien d’autres problématiques encore qui nécessiteraient une encyclopédie pour les citer toutes sans oublier trop de soucis préoccupant les chefs d’entreprises. Car tout travailleur non salarié vous dira, indépendant moi ? Plus ou moins, je passe mon temps à satisfaire à des obligations vis-à-vis de quantité d’organismes et j’ai un patron, le banquier. S’il ne me fait plus confiance, tout s’arrête.
De nombreux autres sujets sont envisageables. Je peux étudier avec vous ceux qui correspondront le plus aux attentes de votre lectorat.
Quel format adopter ?
Tout est possible à condition de respecter quelques principes de base. Un rédactionnel sur des questions juridiques doit être synthétique, sérieux et rigoureux. Il n’est pas possible de traiter un sujet grave et complexe dans une brève de cinq lignes. Par contre, diviser une chronique en plusieurs parties à publier à intervalles convenus relève des possibilités et peut présenter l’avantage de fidéliser le lecteur intéressé par la suite de ce qu’il vient de lire.
Tout dépend du format de votre support et du budget - forcément raisonnable - que vous êtes disposé à consacrer à des rubriques juridiques dont vos lecteurs vous seront reconnaissants. Ces contenus peuvent prendre la forme de fiches technique de 1.500 à 2.000 signes (espaces compris). de chroniques plus longues (par exemple 3.500 signes), de dossiers thématiques (7.500 à 10.000 signes voire plus).
Et les illustrations ? Là encore, je vous propose de travailler ensemble afin de sélectionner les meilleures. Dessins, photos, sigles, tout est possible !
N’hésitez pas à me contacter par le formulaire de contact du blog (accessible tout en bas de la page ou par Messenger via Facebook). Je serai enchanté d’envisager avec vous la mise en place des contenus juridiques dont vous avez besoin http://www.facebook.com/thierry.lebras.18
QUELQUES LIENS A SUIVRE
L’héritage dans les familles recomposées révèle souvent des manœuvres fort discutables https://bit.ly/2GSAIhF
L’auto, l’enfant et le prénom, ou quand questions juridiques et humour vont de pair http://circuitmortel.com/2018/10/lenfant-lauto-et-le-prenom/
La communication judiciaire apparaît dans une bande dessinée http://bit.ly/2uqFAaQ
Thierry Le Bras