Circuit Mortel, un scénario mécanique à Lohéac, réédité en version papier !
Vous êtes désormais nombreux à suivre les aventures de David Sarel dans l’univers de la course automobile. Avocat durant la semaine, David range sa robe noire le week-end pour enfiler une combinaison de pilote et chercher la limite d’adhérence sur les circuits. Parfois aussi, il s’engage en rallye. Pour le plaisir et parce que piloter lui procure un plaisir inégalable. "La course, c'est la vie! Avant et après, il n'y a que l'attente", déclare Michael Delaney, le personnage interprété par Steve McQueen dans le film Le Mans.
David considère la phrase comme une devise. Cette citation, il faut avoir posé les fesses dans le baquet d’un engin de course avec quatre roues et un moteur pour la comprendre. Monoplace, GT, prototype, voiture de rallye, kart, qu’importe pourvu qu’on recherche la vitesse.
Le pilote, un homme à part ?
David fait partie de cette espèce particulière d’individus qui ne peuvent pas se passer de l’adrénaline des montées en régime de mécaniques infernales, de dérapages contrôlés, de luttes acharnées contre des concurrents et le chrono. Comment tout cela a-t-il commencé ? Sûrement dès l’enfance avec des petites voitures, un circuit Scalextric, des balades à partir de l’âge de quatre ans dans l’Alfa Romeo de son parrain Éric lors de présentations des concurrents au public avant les couses de côtes. Puis des compétitions de karting, des missions de navigateur en rallye avec Éric…
Piloter suppose un caractère bien trempé, Car la course automobile est un sport de combat. « La course auto, c’est un ring, souligne Ronnie, gentleman driver et ami d’enfance d’Éric. Un championnat se gagne par KO ou aux points. Quand tu attaques à fond, une grosse auto te secoue comme un sparring partner ». Les choses se compliquent encore quand des menaces surviennent juste avant la course. C’est ce que subit le Team Vivia cette année-là à Lohéac. Des menaces qu’il convient de prendre au sérieux quand une vague de cadavre produit l’effet d’un tsunami sur la Côte d’Émeraude comme dans le canton de Lohéac ! Cette histoire est la première aventure policière de David Sarel. Elle s’est déroulée à la fin de son adolescence. Il savait que tout le monde avait des ennemis. Il va mesurer la dangerosité de ceux qui rodent dans son environnement. Marâtre aussi cupide que malveillante, maîtres chanteurs, tueurs, tous ces nuisibles semblent s’être donné rendez-vous autour de lui à Lohéac…
Des prochaines semaines riches en actualité
Vous pouvez dès à présent commander l’ouvrage chez l’éditeur en suivant le lien mentionné en bas de cette note.
D’autres surprises vous attendent au cours des prochaines semaines si vous aimez les sports mécaniques. Je vous tiendrai au courant sur ce blog. Je vous proposerai des liens vers des nouvelles et feuilletons automobiles accessibles gratuitement cet été. Je vous suggérerai aussi de lire une autre aventure de David Sarel, plus courte, sur fond de rallye en Auvergne. Elle se déroule un an après CIRCUIT MORTEL. La version papier (enrichie), arrive bientôt. Et vous serez les premiers prévenus de la disponibilité d’une nouvelle gamme de produits destinés aux passionnés d’automobile ! Des cartes postales inédites, des Artworks, des eBooks, des livres papier… Avec Ewen Le Juge, Team principal de DESIGNMOTEUR.COM, nous travaillons à mettre notre passion automobile au service de la vôtre. Le compte à rebours avance. Les moteurs de nos projets montent dans les tours… Bientôt, très bientôt, le départ de la course sera donné.
QUELQUES LIENS
Commander CIRCUIT MORTEL, c’est possible à partir sur le site de l’éditeur, ÉDITIONS -2L http://editions2l.wix.com/editions2l
David, plus tard, aux 24 Heures du Mans sous la pluie) http://bit.ly/25TaV2X
(cette scène préfigure un futur polar jeunesse, mais chut, je ne vous ai rien dit)
Une histoire de Ronnie, né pour devenir un jour héros de BD … http://0z.fr/r8RvN
Une autre présentation de mon polar dans l’univers du Rallycross http://bit.ly/1XEpx1J
Un an avant Circuit Mortel, David lors d’un déjeuner dominical… peu convivial http://0z.fr/PgIf4
Thierry Le Bras